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Der Auslandschweizerrat fordert den Bundesrat auf, sich ganz entschieden für die Beibehaltung der Personenfreizügigkeit zu engagieren. Es gelte, die Rechte der 450 000 in der EU lebenden Schweizerinnen und Schweizer unbedingt zu gewährleisten.
Der Auslandschweizerrat (ASR), das «Parlament» der Fünften Schweiz, zeigte sich an seiner Sitzung vom 19. August in Lugano «äusserst besorgt» über den Stand der Beziehungen zwischen der Schweiz und der Europäischen Union (EU). Wegen des Abbruchs der Verhandlungen über ein Rahmenabkommen mit der EU seien insbesondere negative Auswirkungen für die 450 000 in der EU lebenden Schweizer:innen zu befürchten. In einer einstimmig gefassten Resolution fordert der ASR deshalb vom Bundesrat, sich mit einer klaren und transparenten Strategie für die Personenfreizügigkeit einzusetzen. Die Schweizer:innen mit Wohnsitz in der EU profitieren heute direkt und auf vielfältige Weise vom Abkommen über die Personenfreizügigkeit (FZA) zwischen der Schweiz und der EU, etwa im Bereich Erwerbstätigkeit, Steuern, Sozialleistungen und Familiennachzug. Für ASO-Präsident Filippo Lombardi ist vor diesem Hintergrund klar: «Die Personenfreizügigkeit muss unbedingt aufrechterhalten werden.»
In Sorge ist der ASR, weil der im Mai 2021 erfolgte Abbruch der Verhandlungen mit der EU schon jetzt erste negative Konsequenzen für die Schweiz zeigt. Ein Beispiel ist die Degradierung der Schweiz im Forschungsprogramm Horizon Europe. Und generell zu Ungunsten der Schweiz habe sich das Verhandlungsumfeld verändert, sagte in Lugano der ehemalige Schweizer Botschafter und Spitzendiplomat Alexis Lautenberg. So erschwere der Brexit die Lage der Schweiz.
Während nämlich Grossbritannien «das Draussensein» hervorhebe, wolle die Schweiz im Prinzip eine enge Kollaboration mit der EU. Doch seit dem Brexit sei die schweizerische Position «völlig erodiert», so Lautenberg. Es sei zwar denkbar, dass die EU ein generelles Konzept für die Beziehung mit Drittstaaten entwickle. Nur seien Zweifel angebracht, dass ein solches Konzept die Bedürfnisse der Schweiz abdecken könne.
Position bezogen hat der ASR in Lugano weiter zur elektronischen Identität (E-ID), an deren Einführung die Schweiz arbeitet. Der ASR befürwortet die angestrebte E-ID ganz klar, weil nun – nach dem Scheitern einer ersten Vorlage an der Urne – eine staatlich getragene E-ID entwickelt werden soll.
Aus Sicht des ASR beschleunigt eine E-ID die elektronische Demokratie, ermöglicht digital ausgestaltete E-Voting-Verfahren – und ist somit im Interesse der Fünften Schweiz.
Mehr zu Kongress und ASR-Sitzung: revue.link/lugano
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Es necesario que los suizos residentes en el extranjero puedan votar a través del e-ID. En mi caso cuando recibo por correo los boletines de voto ya está encima la votación. Mismo si lo mandara no alcanzaría a llegar. Esto representa un gasto anual para el erario del Gobierno Suizo sobre todo porque ese papel se manda a la basura. Pagar por correo representa la suma de $350.000 ¿Quién los paga? El votante. Así es imposible participar de la democracia directa.
Très chers membres et responsables au sein du CSE. Il est certain que votre demande de libre échange et parcours au sein de L'UE reste un " must " ainsi qu'un enrichissement mutuel certain dans tous les domaines autant pour la Suisse que pour l'ensemble des pays membres de l'UE. J'espère par ailleurs et de tout cœur en tant que Suisse de l'étranger de voir la Suisse ouvrir ses portes et son cœur envers ses ressortissants Suisses dont j'en fait partie avec ma famille vivant à l'étranger comme dans mon cas qui suis naturalisé Suisse de par ma mère et vivant hors de l'UE, entre le Liban ( mon feu père étant d'origine libanaise ) et la Syrie ( mon épouse étant d'origine syrienne ) tout deux souffrant d'une situation socio economique on ne peut plus déplorable avec toutes ses répercutions désastreuses profondes sur nos moyens de survie...
En tant qu'ophthalmologue ayant effectué ses études de spécialisation entre l'HDF de Beirut (Faculté de médecine de l'USJ ) et le CHNO des XV-XX à Paris avec 32 années d'expérience medico chirurgicale, je me retrouve sans ressources pécuniaires vue l'anéantissement presque total du lot de travail embrassant la casi totalité de la population faute de moyens avec la d'évaluation inouïe de la Livre aussi bien libanaise que syrienne.
N'arrivant plus " à joindre les deux bouts " , serait il possible à travers votre imminent comité de porter nos voix et en particulier la mienne afin de m'ouvrir la porte vers un poste de spécialiste en ophthalmologie sans devoir passer par les longues épreuves des équivalences avec octroie d'un permis de travail qui me permettrait d'exercer ma profession dans l'immédiat tout comme l'octroie d'un permis de travail envers un quelconque chercheur d'emplois étranger européen tout en vous garantissant l'exélence de toute mes compétence et de mes hautes qualifications medico chirurgicales très avancées dans le domaine de ma spécialité.
Vous aurez le libre choix de m'affilier en Suisse Romande dans la région qui en aura le plus besoin dans le centre de votre choix et qui je l'espère sera des plus sophistiqué dans la matière afin de faire valoir au maximum tout mon savoir et savoir faire afin de vous rendre entière satisfaction.
Je me rendrait en Suisse seul sans ma femme et mes 4 enfants non pas pour demander ou recevoir une aide pécuniaire gratuitement et compte bien travailler en toute conscience professionnelle afin d'être utile, efficace, conforme en tout point aux règles éthiques et professionnelles spécifiques autant que génerales et vous donner entière satisfaction afin de mériter les rémunérations vitales aussi bien pour moi que pour ma famille et qui me seront octroyées.
En attente d'une réponse qui je l'espère sera favorable de votre part, veuillez chers Mesdames Messieurs recevoir l'expression de tous mes remerciements et de mes salutations distinguées.
Dr Amédée Mourad
Le problème des rapports avec l'UE est très important et mérite peut-être une initiative afin de reprendre le dialogue. Le retrait sur soi, sur une Suisse insulaire, est contraire à l'intérêt national, il ne satifait que ceux qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. La perte d'influence politique, économique et culturelle en résultant sera très difficile à ratrapper.