Un monopole se dessine
Le groupe SwissSign englobe la Poste, les CFF, Swisscom, Six, de grandes banques et des assurances. Il a tout intérêt à délivrer une e-ID, critiquent les sceptiques comme Anita Fetz (SP/BS). Un monopole privé n’est pas forcément la forme de concurrence du futur, a fait remarquer la conseillère d’État chevronnée pendant les débats parlementaires. Une objection «non concluante» aux yeux de Karin Keller-Sutter: «Que pourrait l’État en tant qu’instance de délivrance?» Le but, pour la ministre de la justice, est précisément que plusieurs fournisseurs se concurrencent sur le marché et développent différentes applications.
Avec l’e-ID, on crée un socle important pour la transformation numérique, soulignent ceux qui défendent le projet. La Suisse, d’après eux, ne doit pas rater cette opportunité de progrès numérique ni manquer de réduire son retard par rapport à l’étranger. En fait, la Suisse est moins avancée en matière de cyberadministration que des pays comparables. Elle risque de décrocher, préviennent les experts. Il s’agit là de la dernière occasion de garder le contrôle des données d’identification des citoyens suisses en Suisse, a martelé Ruedi Noser (PLR/ZH) à la Chambre des cantons. Le report du projet laisserait le champ libre à Apple, Google, Facebook et Amazon.
Eveline Rutz est journaliste indépendante à Winterthour. Elle s’intéresse principalement à des sujets politiques, sociétaux et scientifiques.
Le «Parlement de la Cinquième Suisse», le Conseil des Suisses de l’étranger (CSE), s’est exprimé en faveur du projet de vote le 10 juillet 2020. Avec 37 voix pour, 26 voix contre et 18 abstentions, la décision n’a cependant pas été unanime.
Ce que l’e-ID coûtera à l’État
Pour mettre sur pied l’e-ID, la Confédération devrait débourser 7,9 millions de francs. Cette somme couvrirait le développement du système et la création du service d’identité et de l’organisme de reconnaissance. D’après le DFJP, l’exploitation annuelle coûterait environ 3,5 millions de francs par an, un montant couvert par des émoluments administratifs, et qui n’engendrerait donc aucun coût pour la Confédération.
Commentaires
Commentaires :
Der Bund muss die einzige Stelle sein wo meine Daten hinterlegt sind was, was sie jetzt schon sind.
Der Bund garantiert mit der Vergabe einer E-ID, dass ich der bin den ich vorgebe zu sein. Der Rest funktioniert über meine E-ID die für alle Anderen als Identifikation funktioniert.
So sind meine Daten geschützt, was jetzt auch sein sollten, es kann kein Missbrauch damit betrieben werden. Wenn Andere meine Daten wollen müssen sie sie von mir direkt abholen und ich kann entscheiden ob ich sie geben will oder nicht. Nicht über dunkle Wege einkaufen.
In my perfect world, the federal government would offer a secure and convenient eID. However, I understand the real-world arguments against it. The city of Zug may have found a realistic solution if people are willing to spend some time learning about distributed ledger technology (blockchain).
https://joinup.ec.europa.eu/collection/egovernment/document/swiss-city-zug-issues-ethereum-blockchain-based-eids#:~:text=Since%20November%202017%20the%20Swiss,app%20and%20an%20online%20portal.
Grüss Gott
Ich würde E-ID von E-Voting trennen, weil ich denke, dass E-ID kann man vieleicht in Inland brauchen, das E-Voting ist besonderes für die Auslandschweizer sehr attraktiv. Mit der Post abstimmen ist ja langsam und der Abstimmungstermin ist jeweils vorbei . Mit freundlichen Grüssen, Kokob
La Suisse 2021: Ne savez-vous donc pas qu'ily a des personnes agées qui ne comprennent rien avec les ordinateurs et les téléphones tablettes !
Ich will meine Daten NICHT in den Händen von irgendwelchen pirvaten Interessen sehen.
Und was von Versprechungen zu halten ist, dass die Daten sicher seien in den Händen dieser Anbieter, das sah man in der Vergangenheit immer wieder. Und die Kontrollen durch den Staat kann man getrost vergessen, das funktioniert ja nicht einmal bei der Kontrolle der Restaurants, des Tierschutzes, der Lebensmittelsicherheit und und und.
Weshalb soll sie denn bei den Datenkraken funktionieren. Wer glaubt denn das?
NEIN zu dieser Vorlage und NEIN zum Gegenvorschlag.
https://x-road.global/xroad-world-map
N.B. Je n'ai absolument aucun intérêt personnel ni aucun lien avec l'entreprise.
Une spécialiste reconnue au Québec, Michelle Blanc, m'a suggéré, en lui parlant de ce projet de e-ID, que la Suisse jette un œil sur: X-Road® Data Exchange Layer.
Cordialement, Eric W. Schaffner (Suisse au Québec)
Michelle Blanc M.Sc.
Consultante conférencière et auteure stratégie de gestion et marketing internet. Mon titre académique est http://M.Sc. commerce électronique
Ich bin auch der Meinung des Bundesrats / Karin Keller-Sutter.
Eine E-ID, die von einem Privaten organsiert wird, will ich nicht. Der Staat kann die Sicherheit NICHT garantieren, obwohl es gesagt wird. Werde daher dagegen stimmen.
Ein Fass ohne Boden wird wieder aufgemacht für das Schweizer Volk! Die Schweiz ist auch nicht in der Lage, ein System auf die Beine zu stellen, das den Auslandschweizern ermöglicht, an Abstimmungen teilzunehmen! In solche Systemen werden Millionen verheizt und am Schluss werden sie wieder abgezogen und vernichtet und der Souverän hat bezahlt. Der Bundesrat ist wie so oft völlig überfordert und das Wichtigste: Sie haben keine Ahnung! Man kann nicht Politiker zum Oberhaupt machen und sie versteht nichts von der Materie. also muss es ein klares NEIN sein am 7.März 2021. Leider kann ich nicht abstimmen, denn die Unterlagen werden wie immer zu spät kommen.
Bonjour.
Le problème du délai de renvoi des votations viennent plus du pays où vous habité.
J'habite en France et je reçois les enveloppes de vote un mois a deux mois a l'avance.Donc largement le temps de réagir.
Moi même, je suis contre l'E-ID car le système électronique ne pourra jamais être sur à cent pour cent.
Erhalten auch die Auslandschweizer eine E-ID? Kann man damit entlich elektronisch abstimmen. Falls nein, was soll für uns Auslandschweizer
Eine E-ID können grundsätzlich alle beantragen. Eine E-ID führt aber nicht automatisch zum E-Voting. Es ist lediglich so, dass die E-ID eine künftige E-Voting-Lösung erleichtern könnte.
Derzeit hat die Schweiz sämtliche E-Voting-Versuche sistiert: Niemand kann momentan an nationalen Urnengängen elektronisch abstimmen. In Kürze sollen aber erneut E-Voting-Versuche zugelassen werden. Die "Schweizer Revue" wir in ihrer nächsten Ausgabe über den aktuellen Stand zum Thema E-Voting berichten.