Éditorial
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En principe, le thème de l’immigration ne devrait plus être à l’ordre du jour depuis longtemps. Au mois de décembre dernier, le Parlement a décidé de mettre en œuvre l’initiative sur l’immigration de masse, bien plus de deux ans après son approbation par le peuple. Mais il s’est heurté à une résistance au sein du Conseil national. Immédiatement après le vote final, le groupe UDC a reproché au Parlement d’avoir violé la Constitution – un reproche qui n’était pas infondé, car l’initiative avait été quasiment vidée de son contenu original. La volonté du peuple de réguler l’immigration par des plafonds et des contingents avait été contournée. Une dénommée «préférence nationale light» remplaçait ces revendications.
La mise en œuvre de l’initiative était dès le départ une mission impossible. Comment la volonté du peuple pouvait-elle s’appliquer sans que la libre circulation des personnes avec l’UE soit mise en péril? Comment mettre en œuvre cette initiative à la lettre, ou du moins dans les grandes lignes, tout en préservant les intérêts nationaux prioritaires? Des consultations avec l’UE ont suivi. Il est alors devenu évident que l’Union européenne ne voulait pas accepter les contingents planifiés. Dans l’intervalle, l’idée d’une clause de sauvegarde a également émergé, avec des quotas annuels pour les immigrés lorsqu’une certaine valeur seuil est dépassée. En définitive, le Parlement s’est accordé sur la «préférence nationale light», qui prévoit uniquement une sorte de priorité aux chômeurs suisses.
L’«immigration de masse» restera au cœur des débats malgré la décision prise en décembre. En effet, l’UDC a déjà annoncé une initiative populaire sur la libre circulation des personnes avec l’UE. L’initiative RASA, qui prévoit la suppression complète de l’article sur l’immigration de masse de la Constitution, sera également soumise au vote. Et il y a peu, comme si cela n’était pas déjà assez compliqué comme cela, un membre du PS a eu recours individuellement au référendum contre la loi sur l’initiative sur l’immigration de masse – afin, paradoxalement, de la consolider par une votation populaire.
La situation est confuse. Quels sont les nœuds gordiens? Où se situent les contradictions? Où sont les priorités? Dans l’article principal de cette édition, nous tentons d’apporter un éclairage, de jeter un regard rétrospectif sur les trois dernières années de guerres de tranchées politiques et de dresser un bilan, afin d’être en mesure de suivre les débats complexes auquel notre pays doit encore faire face en matière d’immigration.
Commentaires
Commentaires :
Meine sehr geehrten Damen und Herren
Die im Folgenden verwendeten Zahlen und Fakten unterliegen einer Toleranz von plus/minus 5%
Genau genug, um die Tragweite dieses MEI-Unsinns zu beurteilen.
Bis zum Jahr 2035 werden in der Schweiz ça 1'700'000 Personen in Rente gehen.
Ersetzt werde diese durch ça 600'000 Personen, daraus folgt
- Die Rentner werden nicht mehr im vollem Umfang Einkommensteuer
bezahlen, AHV-Beiträge schon gar nicht mehr.
Von diesen 1,7 Mio werden ça 800'000 dem Produktionssektor ent-
zogen, was bezogen auf diesen ça 15% ausmacht.
Das heisst, unsere Kinder(ich bin 74jährig) werden diesen Verlust mit längerer Lebensarbeitszeit ausgleichen müssen.
Das diesbezügliche Paradebeispiel ist Japan mit einem Durchnitts
alter der arbeitenden Bevölkerung von weit über 60 Jahren. Resultat einer seit Jahrzehnten strikte praktizierten Einwanderungspolitik. (China Ein Kindehe, genau gleich)
ERGO EST
Unsere Kinder werden nicht nur länger arbeiten müssen, sondern auch noch mehr Steuern und AHV-Beiträge bezahlen müssen.
Moderater Kommentar meinerseits, DANKE SCHÖN SVP
Jedem seine Ansicht, das ist die Freiheit, des aufgeklärten Homo sapiens, aber
sind Sie sich bewusst, dass
- die Schweiz 40% ihrer Exporte in Euro fakturiert.
- 70% ihrer Importe aus dem Raum Europa bezieht.
- Die Schweiz ganze 1.5% der EU-Bevölkerung ausmacht.
- Die Gesamtexporte der EU in die Schweiz im Bereich von nicht
mehr als 3% in der Gesamt-Aussenhandels-Bilanz betragen.
- Das die Verkehrströme Ost/West heute grösser sind als die von
Süd/Nord.
- Wenn es der EU 20% schlechter gehen würde, sich dieses in der
Schweiz mit einer Arbeitslosenrate von mind. 12% niederschla-
gen würde.
Unter den obwaltenden Umständen wird die EU ganz sicher nicht "täupelen" sondern die Schweis aus den bilateralen Verträgen rausschmeissen. Wenn ich keine Kinder hätte, würde ich diesen Rausschmiss sogar begrüssen, nur deswegen, dass der Normal-
Schweizer endlich wieder auf den Teppich kommt.
mfG
Erwin Balli