D’un point de vue international, les peurs existentielles n’augmentent pas qu’en Suisse, mais aussi au Canada, en Allemagne et au Brésil! Ce qui ne fait pas avancer le débat, certes, mais montre quelque chose de très important: de larges couches de population souffrent aujourd’hui de ce que les «monarchies bureaucratiques» ont fichu en l’air dans les années 2000 et 2010. Et cette forme la plus récente de la monarchie n’a rien entrepris d’utile jusqu’ici pour corriger toutes les graves erreurs qu’elle a commises.
Je remarque qu’en Suisse beaucoup se plaignent sur un niveau assez élevé!
Dois-je déduire de ce que vous exposez que les Suisses s’appauvrissent parce que la Suisse est riche?
Dans son article sur les peurs existentielles croissantes en Suisse, la «Revue» ne mentionne pas les retraités dont la rente de vieillesse est très basse, c’est-à-dire ceux qui ont finalement dû se résoudre à quitter la Suisse pour s’installer dans un pays où la vie est meilleur marché. Ceci afin de pouvoir mener une vie décente.
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