Courrier des lecteurs
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Je viens de recevoir l’édition de juin de la «Revue Suisse» et souhaite apporter un commentaire sur l’initiative de la Suisse contre l’immigration. Citoyenne américaine de naissance et Suissesse par mariage, je conseillerais à la Suisse de prendre connaissance de la situation aux États-Unis et d’en tenir compte. Notre politique en matière d’immigration – ou son absence – nous fait rapidement perdre notre identité. Les États-Unis ont été fondés en tant que pays anglophone; de ce fait, les immigrants qui y sont arrivés au début du siècle passé DEVAIENT apprendre l’anglais, comme ont dû le faire mes grands-parents russes. Malheureusement, ce n’est plus le cas aujourd’hui. La pression qui pèse sur nos systèmes de santé, gouvernemental et d’éducation est énorme. Je ne suis d’ailleurs pas la seule à penser que nous devenons une nation unipartite du fait de sa situation.
Le Musée des Beaux-Arts de Berne ne devrait pas accepter la collection Gurlitt. La Suisse affiche déjà un lourd dossier relatif aux œuvres d’art volées, cachées dans des banques, musées, etc. Il n’incombe pas à la Suisse d’identifier la provenance de toutes ces peintures. C’est à l’Allemagne de faire le nécessaire et de fournir les papiers d’authentification de chaque objet.
«Un arbre qui tombe fait plus de bruit que toute la forêt qui pousse», dit le proverbe. Dommage, dommage que notre «Revue Suisse» choisisse (systématiquement?) des sujets polémiques, des illustrations souvent provocantes, des partis-pris politiques non neutres, sans parler de la rubrique «Citations»… bonjour l’optimisme! La rédaction semble sensible à la question de l’écologie et tant mieux! Mais oublierait-elle que le premier milieu à respecter est celui de notre intelligence, de notre pensée? Un suisse de l’étranger a besoin d’une image RÉALISTE de sa patrie: aidez-nous donc à voir (aussi et d’abord) toute «la forêt qui pousse», et pas seulement les quelques feuilles mortes ou branches qui tombent… Merci!
Comme toujours, j’ai feuilleté la «Revue Suisse» et en ai lu quelques passages, dont l’éditorial de Barbara Engel. Je n’irais pas jusqu’à dire que j’aurais sauté dans le premier avion pour la Suisse... mais lorsque je suis arrivé à la dernière page, mon cœur a littéralement «bondi» de joie – Blocher ne hantera plus les couloirs du Palais fédéral. Une raison de se réjouir. Instituons un jour commémoratif pour les chevriers et le pasteur qui jettent de la poudre aux yeux du peuple. Le reste est connu… la Suisse redevient une option quant au choix de son pays de domicile.
Commentaires
Commentaires :
Il s'agit de 6 milliards de personnes,qui après siècles d' esclavage,colonisation, spoliation, ne recherchent pas seulement un Eldorado en Occident.
Mais retrouver une dignité, beaucoup sont issus d' empires tels que chinois,arabe, ottoman
Qui peut penser que planning familial, aide financière, puissent rêgler quoi que ce soit?
Nous ne sommes plus en 1789, lorsque quelques têtes coupées mettaient un terme aux revendications
Désolé, je n'ai aucune solution, l' Histoire est imprévisible,... qui a prévu l'effondrement de Rome?