Nouvelles du Palais fédéral
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L’administration fédérale est aussi concernée par l’avancée des réseaux sociaux. Le DFAE les utilise là où ils sont pertinents dans sa stratégie d’information mais le principal canal d’information en ligne reste néanmoins son site internet.
Conformément à la Constitution, le Conseil fédéral et l’administration fédérale ont une mission d’information: ils doivent informer la population de leurs activités en temps voulu et de manière exhaustive, entretenir des relations avec elle et s’informer de ses opinions et de ses demandes. Par ailleurs, les réseaux sociaux jouent un rôle croissant du fait du développement de la cyberadministration, en particulier du vote électronique. Le jour où le processus d’information et de décision lors des élections et votations se déroulera entièrement en ligne, voter ressemblera de très près à cliquer sur le bouton «J’aime» de Facebook.
Le vote électronique est plus développé que l’information via les réseaux sociaux, qui n’est soumise à aucune obligation au sein de l’administration fédérale. Chaque département est libre de décider de l’utilisation qu’il souhaite faire des réseaux sociaux. Les directives concernent uniquement l’identité visuelle afin que les contenus officiels soient aisément reconnus. Le Conseil fédéral twitte avec la population via son porte-parole. La conseillère fédérale Eveline Widmer-Schlumpf a une page Facebook et les conseillers fédéraux Alain Berset et Johann Schneider-Ammann sont actifs sur Twitter, ainsi que le Département de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS), celui de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication (DETEC) et plusieurs offices fédéraux.
Le DFAE tient compte de l’évolution de ces nouveaux besoins de communication et des possibilités offertes par les réseaux sociaux pour mener à bien sa mission d’information. Il voit dans cette nouvelle forme de communication une opportunité mais ne néglige pas pour autant les risques liés à la protection des données, aux droits de la personnalité et à la dynamique propre à ces réseaux.
Le DFAE a élaboré une stratégie visant à entretenir un dialogue direct avec les citoyens via les réseaux sociaux et à limiter les risques. En effet, les réseaux sociaux divergent des médias classiques: le flux d’informations circule certes de l’émetteur au destinataire mais le destinataire peut à son tour devenir émetteur. Les messages peuvent ainsi se répandre très rapidement à travers le monde.
Le DFAE recourt aux réseaux sociaux dans les services où leur utilisation se révèle pertinente: en premier lieu dans les représentations extérieures (ambassades, consulats et bureaux de coopération) mais aussi au sein de la direction consulaire qui donne des conseils aux voyageurs, de Présence Suisse, du Corps suisse d’aide humanitaire (CSA), de la mission de la Suisse auprès des Nations Unies, de la délégation suisse auprès de l’OSCE ou de l’agenda post-2015. Par ce biais, ces services rendent leur travail visible et offrent une image complète et authentique de la Suisse et de sa politique étrangère. Les représentations extérieures et unités organisationnelles sont libres dans le choix du réseau, responsables des contenus et garantes de la qualité de leur présence en ligne.
Aujourd’hui, le DFAE est actif sur les réseaux sociaux à travers plus de 80 canaux dans le monde. Les plus utilisés sont Facebook et Twitter, puis Youtube et Instagram. Toutes les présences du DFAE sur les réseaux sociaux sont répertoriées sur www.eda.admin.ch/?socialmedia-fr.
Aujourd’hui, le DFAE est actif sur les réseaux sociaux à travers plus de 80 canaux dans le monde. Les plus utilisés sont Facebook et Twitter, puis Youtube et Instagram. Toutes les présences du DFAE sur les réseaux sociaux sont répertoriées sur www.eda.admin.ch/socialmedia-fr.
Aujourd’hui, vous recevez pour ainsi dire un numéro anniversaire de la «Revue Suisse»: le premier numéro en ligne du magazine d’informations pour les Suisses de l’étranger édité par l’OSE a été publié il y a tout juste cinq ans. 170 000 lecteurs dans le monde entier ont ont d’ores et déjà fait le choix de la version numérique et la version imprimée est produite à 230 000 exemplaires.
Avec un poids de papier de 72 g par numéro, cela représente environ 100 tonnes de papier par an. Sans oublier les 2 760 000 agrafes métalliques et le matériel d’emballage, ainsi que l’envoi postal dans le monde entier, qui peut prendre jusqu’à trois semaines. La version en ligne vous parvient bien plus rapidement, elle est aussi moins onéreuse et plus écologique.
Si vous êtes abonné à la version papier, nous vous recommandons donc de modifier vos préférences d’envoi sur www.swissabroad.ch pour recevoir la version numérique en lieu et place de la version papier. Vous contribuerez ainsi à la protection de l’environnement.
Nous espérons que vous continuerez à lire avec plaisir la «Revue Suisse»!
Les réseaux sociaux sont des applications ou des plates-formes basées sur internet qui permettent d’échanger en ligne des informations, photos ou vidéos, ainsi que des opinions et des expériences. Tout en suivant leur propre logique – la communication passe obligatoirement via leurs propres canaux –, ils offrent une nouvelle manière d’utiliser internet et recèlent un potentiel de mobilisation considérable. L’utilisation de ces plates-formes est en hausse partout dans le monde. Un nombre croissant de personnes, qui ne sont pas uniquement des jeunes ou des personnes à l’aise avec l’informatique, passent toujours plus de temps sur les réseaux sociaux. Aujourd’hui, les opinions émergent de plus en plus sur ces plates-formes d’interaction gratuites, au détriment des médias traditionnels (journaux, radio et télévision), ce qui confère un rôle central à ces réseaux. En outre, Facebook, Twitter, etc. sont utilisés non seulement dans un cadre privé mais aussi professionnel, par des journalistes et des personnalités politiques, économiques et culturelles. Leur utilisation peut se révéler cruciale dans des régions où la liberté de la presse est restreinte.
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