Courrier des lecteurs
Courrier des lecteurs
Courrier des lecteurs
Courrier des lecteurs
Courrier des lecteurs
Courrier des lecteurs
Courrier des lecteurs
Courrier des lecteurs
Plusieurs lecteurs nous ont fait part de leur crainte de voir leurs avoirs en billets de banque de la série 8 s’évaporer. Ce n’est pas le cas: ces billets peuvent encore être échangés auprès de la Banque nationale suisse et de ses filiales. Voir la note à ce sujet: revue.link/billets
Merci beaucoup pour votre article sur l’artiste suisse-tamoule Priya Ragu. Chaque succès de migrants en Suisse ou de leurs enfants, réfugiés ou non, est un pas vers plus de tolérance dans notre société. Le cas de Mme Ragu est particulièrement intéressant pour nous.
C’est beau, de s’engager pour la musique en général, quel que soit le genre. Vous parviendrez à réaliser votre rêve, à créer un festival de musique à Jaffna. Allez-y et saisissez votre chance!
C’est une magnifique voyage qu’elle entreprend pour la musique, pour une avancée positive et en faveur de l’intégration. Puissions-nous tous voir et encourager les mérites de chacun d’entre nous, et célébrer l’humanité que nous partageons et qui nous relie au-delà de toutes nos différences!
La Suisse devrait davantage se soucier de l’endroit où elle achète des armes pour sa propre armée, et moins de la question des armes qu’elle exporte. Les exportations de matériel de guerre suisse sont tout simplement trop insignifiantes. Comme vous l’écrivez, la Suisse n’a pas le droit d’exporter du matériel militaire vers des pays en guerre, qui occupent d’autres pays ou violent les droits de l’homme. Mais qu’en est-il de l’importation? Comment se fait-il qu’un pays prétendument neutre comme la Suisse achète des drones israéliens et des avions de combat F-35 aux États-Unis? De plus, dans le cas de l’acquisition des F-35, ces avions restent sous contrôle américain. En les achetant, la Suisse paie pourtant le prix plein.
J’ai toujours trouvé immoral que la Suisse vende des armes, même après l’assouplissement des règles d’exportation aux pays en état de guerre civile et chaque fois qu’une votation du peuple refuse une proposition plus restrictive, je me dis que chaque votant est responsable de morts dans plusieurs pays du monde. C’est pour un pays neutre absolument intolérable.
Merci pour ce bel article. Je suis heureuse à chaque fois qu’une nouvelle espèce animale apparaît en Suisse. Cela montre à quel point certains animaux sont flexibles. Malheureusement, avec tant de terres cultivées et l’urbanisation à large échelle, leur progéniture n’a aucune chance de s’en sortir. Car le bétonnage dans le sillage des nouvelles constructions la prive de son habitat naturel.
Sur ce sujet aussi, les besoins des Suisses de l’étranger sont complètement ignorés. Il aurait été utile que notre Banque nationale trouve un accord avec les instituts bancaires d’autres pays pour reprendre les billets retirés de la circulation. Bon nombre de Suisses de l’étranger détiennent parfois de petites fortunes chez eux puisque, comme chacun sait, les banques suisses ont résilié leurs comptes. D’autres modèles seraient également imaginables pour l’échange des billets dans les pays en question. Il est à la fois impossible et inacceptable que les Suisses de l’étranger doivent se rendre en Suisse pour procéder à cet échange.
J’ai reçu l’information sur les billets de banque par la «Revue Suisse» le 15 décembre. Or, les billets ont perdu leur validité en avril. Un coup des technocrates? Nous conservons toujours quelques francs en cash pour pouvoir payer de petites choses à notre arrivée à Zurich. Mais à présent, à cause de la pandémie de coronavirus, nous n’avons pas pu faire le voyage.
Je suis content d’être retraité – j’aime la vie –, cependant je ne procède jamais à des paiements par le biais d’une carte bancaire. Je n’achète jamais sur Internet. Je n’ai aucune confiance à cause de tous ces hackers et voleurs spécialistes de l’électronique. De plus, il s’agit d’un contrôle démesuré des autorités. Et que dire des réseaux sociaux qui n’en sont pas, en réalité. L’évolution de notre société informatisée est déplorable. Si un jour, les billets ne devaient plus exister, mieux vaudrait quitter cette terre!
L’argent liquide est synonyme de liberté et d’indépendance.
Commentaires